Bonjour à toutes les Radieuses et tous les Radieux !
Nouvelle année, Réouverture du Radis, Nouvelle Newsletter. Que de belles choses pour vous accompagner en ce début de mois de janvier.
Très belle année 2022 à tous, et à tout bientôt au Radis !
Le groupe Communication
Sommaire
1) Les nouvelles du Radis
a) Nouvel accès au compte coopérateur
b) Arrivée de nouveaux produits
c) Un message du groupe Organisation
2) Portrait de nos fournisseurs
3) Recette du mois
4) Remerciements
5) Prochaine Newsletter
Nouvel accès au compte coopérateur
Vous pouvez dès maintenant consulter l’état de votre compte du Radis à l’adresse : https://comptes.leradis.ch.
Pour info, vos identifiants n’ont aucunement changé !
Arrivée de nouveaux produits
NOUVEAU : durant le mois de janvier nous aurons un nouveau produit à l’essai dans la catégorie sans lactose : Le fromage végétal de New Roots, entreprise suisse.
N’hésitez pas à visiter leur site également : https://www.newroots.ch/fr/home

Deuxième nouveauté !
Cette semaine, au Radis, nous aurons la chance d’avoir de l’huile de Colza et de Tournesol provenant du Domaine des Barges de Brigitta et Max (Vouvry).
Préparez vos papilles, ces deux huiles aux arômes sans égales trouveront une belle place dans votre cuisine. Les huiles sont pressées au fur et à mesure de la demande. Ainsi elles ne s’oxydent pas et gardent une grande saveur. Merci aux acteurs du Domaine des Barges.

Un message du groupe Organisation
Vous trouverez dans le magasin l’affichage des différents postes « back office » et cellules magasin. L’affichage met en évidence tout ce qu’il y a à faire pour que le magasin fonctionne en dehors de la vente. Ces tâches nécessitent des coopérateurs. Si vous ne pouvez pas travailler pendant les heures d’ouverture merci de regarder quel rôle vous conviendrait le mieux et inscrivez-vous. Les cellules magasin au nombre de 8 seront opérationnelles dès qu’elles seront constituées de 8 membres et qu’une réunion aura pu être organisée afin de définir la manière dont la cellule fonctionnera. En attendant c’est le planning actuel qui définit qui travaille quand. Il n’est pas exclu que de nouveaux créneaux magasin soient ouverts une fois que ceux existants seront complets.
Portrait de nos fournisseurs
Joakim Henchoz est notre interlocuteur. Neveu des fondateurs du Sapalet, Jean-Robert Henchoz et sa femme Anne, il me livre les grands traits de cette fromagerie familiale qui est basée à Rossinière.

A l’origine il s’agissait d’un élevage de vaches. Son oncle, déjà de famille paysanne, avait acheté le domaine avec un grand effort. Au fil des années il devint très lucide : il voyait comment le modèle industriel rendait le futur de plus en plus compliqué. Aussi, le couple avait des filles. L’une d’elles ayant présenté une allergie au lait de vache, dans les années 90, la réorientation vers les brebis laitières s’est vite dessinée. Si au début ils n’avaient que quelques bêtes, aujourd’hui plus de 1000 brebis permettent à la famille Henchoz de proposer de nombreux produits. Pour ceux de lait de vache, ils en achètent à des éleveurs de leur région.

C’est l’an 2000 qu’ils font l’option bio. Obtenir le label n’a pas été trop difficile. Leur exploitation est en montagne, il n’y a pas de cultures autour qui mettraient en péril la pureté de leurs alpages. Il y a eu quelques prérequis administratifs à remplir, comme le nombre d’animaux en fonction de la place disponible, mais Le Sapalet est devenu une fromagerie bio.
Joakim et ses frères ont grandi dans ce milieu, ils connaissent le métier par cœur. Quand le choix de faire des études est arrivé, pour Joakim c’était évident : il s’est formé en conséquence, il a suivi un apprentissage de fromager. Il y a trois ans que les frères ont pris la relève de leur oncle.
Ce qui lui plaît le plus de son métier c’est qu’il est très diversifié : de l’agriculture et l’élevage à la fabrication et la vente des produits. Ceci leur permet aussi d’avoir des retours directs de leurs clients. Et quand un problème apparaît sur un des maillons du processus, ça ne dépend que d’eux et c’est à eux d’en trouver la solution. Le fait de ne pas dépendre d’intermédiaires est très important pour lui. Il souligne qu’il est nécessaire d’avoir un vrai esprit entrepreneur.
Le revers de la médaille est que la charge de travail est très conséquente, et que ça demande plein de compétences différentes, ce qui n’est pas toujours simple à gérer. Puis quelquefois il y a des coups durs à encaisser, notamment des requis bureaucratiques, des normes de plus en plus nombreuses, pour de plus en plus d’aspects. Des formations constantes sont exigées pour tout, même pour avoir des chiens. Et comme eux ils touchent à tous les aspects du processus, les normes s’imposent sur chacun des aspects de leur activité.
Quand je lui propose de donner un message aux membres de la coopérative, il est très direct : il est important que les personnes sachent que Le Sapalet est une entreprise qui fait vivre 20 personnes, avec de bons salaires, de bonnes conditions de travail, avec des animaux qui sont bien traités, qu’ils tiennent en compte les conditions sociales, de respect de la nature, de respect des animaux. Même leurs emballages sont durables. Alors, quand les gens se plaignent que leurs produits coûtent deux fois plus que ceux des grandes surfaces, il leur propose de bien se souvenir de tout ce qui fait que les produits Le Sapalet soient disponibles. Ana Maria
Recette du mois
Merci à Astrid qui nous partagé sa recette de vin chaud, qu’elle tient de sa grand-maman !

1) sans alcool :
– Cuire env. 15 min, dans 3-4 dl d’eau, des épices de votre choix (gingembre-curcuma frais, bâton de cannelle, clous de girofle plantés dans la fine peau d’un agrume bio de votre choix, graine de cardamome ouverte et égrainée, quelques grains de poivres, et autres épices que vous affectionnez…).
– rajouter 1 litre de jus de raisin ou de jus de pomme bio, chauffez à feux très doux afin que le jus de fruit s’imprègne du mélange épicé (évitez de cuire à ébullition)
2) pour la version alcoolisée, il y a la variante suivante, testée pas plus tard que ce 28 décembre 2021 :
– Même mélange à épices à préparer, puis versez 5dl de jus de raisin et 5dl de vin. Chauffez à feux doux (éviter de porter à ébullition jus et vin). Dans la recette du vin chaud traditionnel, il est question du même procédé, avec eau, épices, sucre, vin. Dans cette variante le jus de raisin remplace le sucre !
Remerciements
Pour cette Newsletter nous remercions les personnes suivantes pour leur participation.
Merci à Ana Maria pour le portrait du mois et merci à Joakim du Sapalet d’avoir participé et de nous avoir partagé des photos de son domaine. Merci à Annick, Sylvain, Gilles pour les différentes communications du mois. Merci à Astrid pour le partage de sa recette. Merci à Eliane pour la mise en page de la Newsletter. Merci à Laetitia, Marie-Claire et Ana Maria pour la relecture. Et merci à tous les coopérateurs et coopératrices pour la lecture et les retours nombreux que vous faites au groupe Communication.
Prochaine Newsletter
La prochaine Newsletter paraîtra le 28 janvier. Toutes les participations peuvent se faire jusqu’au 26 janvier. Vous recevrez un mail de rappel pour les participations une dizaine de jours avant la publication.
Merci à tous pour vos participations, sans quoi la Newsletter n’existerait pas !